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LA FRANCE PERD SON S PION MAJEUR DE DESTABILISATION À OTTAWA par Dan Albertini – La culture de légendes urbaines quand elle dégénère, peut facilement prendre la forme de la mythomanie. Cependant, l'assurance d'une amitié nous enfonce parfois dans le tas de la trahison. Si la France du général de Gaule c'est du passé lointain dans nos calendriers, l'affaire UBS aux Etats Unis, devrait nous mettre la puce à l'oreille, un peu plus souvent, alors que la naïveté en diplomatie est mauvaise conseillère. La question pourrait paraître stupide aujourd’hui, mais comment une étrangère qui n'était pas canadienne au moment de son élection en 1994, a-t-elle été nommée ministre au Québec ? Simple oubli citoyen, ou, l'assurance était telle qu'on en aurait plus besoin ? Pauvre PQ, l’aurait-on su trop tard. France, trouves ton crédit ailleurs, le Bloc a été évincé et son chef démissionnaire.
S pour séparatiste. La France devrait savoir que le Canada est un pays gagnant qui ne maltraite pas ses immigrants. Mieux, la présidence française s'est fait clair sur le sort réservé à ceux qui pêchent contre la République. Le Canada ne devrait même pas accepter d'accorder la citoyenneté à des étrangers qui militent en faveur de l'éclatement de la fédération canadienne, quelque en soit son origine. Les Etats Unis d'Amérique ne l'auraient tolérés, ce serait un étranger expulsé. Qui peut donc savoir ce qui se trame aujourd'hui encore derrière la tête de Malavoy, elle qui, n'était-ce pas le .qc.ca de l'Assemblée Nationale du Québec, n'honore pas le .ca du Canada. Serait-elle plus confortable avec un .fr ?
SERAIT DE PLUS EN PLUS PRESENTE DANS LES REGIONS RECULEES DU QUEBEC POUR TENTER DE FAIRE BASCULER LE CANADA Cela pourrait paraître de l'intoxication, ou de la charrie contre un parti politique qu'on désapprouve, ben non. L’avarice de la diplomatie française l’aurait poussé vers la cupidité et de là, à commettre des erreurs stupides dans le passé au point d’introduire par le Québec, des Français dans le système politique canadien sans avoir la décence de les pousser à obtenir la citoyenneté canadienne. L’expérience de certains partis politiques québécois témoigne suffisamment pour suggérer plus de prudence et se mettre loin de la naïveté.
Boulanger, épicier, pâtissier, restaurateur, fermier dans les régions, agent culturel, recyclage financier, étudiants, dans la métropole montréalaise. Tous les moyens sont bons pour tenter de faire basculer le Québec vers une séparation avec le Canada fédéral. La France serait l’artisan d’un vaste plan de pénétration dans les Amériques avec la logique : diviser pour régner. L’objectif : atteindre les ressources vitales canadiennes pour assurer ses besoins énergétiques. Il faudrait se poser alors la question suivante : combien de Français militent pour le PQ, sans avoir des papiers canadiens, sans qu'il leur soit demandé s'ils sont immigrants reçus ou canadiens ? Il y a fort peu de temps soit en 2009, que certaines universités françaises se seraient livrées à des pratiques douteuses avec des étudiants chinois qui pouvaient obtenir des diplômes d’études de cycles avancés en offrant 100.000€ en contrepartie. Cela peut étonner dans un pays réduit par ses limites, mais la France devrait pouvoir s’en sortir après des siècles de développement aux dépens des colonies exploitées. C’est un indice très révélateur de la morale et de l’éthique dans ce pays.
Si le Canada continue à se développer en utilisant un processus accéléré en vertu de ses richesses naturelles et humaines, la virginité de certains secteurs pourrait favoriser un taux de croissance qui minerait le crédit de la République française, le poussant vers une autre catégorie du développement décéléré. Son existence européenne serait effectivement remise en question, comme le Portugal, la Grèce etc…
Il est tout de même curieux que de constater l’audace d’un agent financier d’une grande banque française, qui a entrainé des pertes énormes dans des placements douteux. Mais, si le coup avait marché, qui en fait aurait payé la note d’une affaire de spéculation. Ce ne serait probablement des pays pauvres sans le sou. Il y aurait tout simplement un système établi pour drainer
« Peu importe le résultat, vous pouvez être fiers de vous, et moi je suis fier de l'ensemble de nos candidats », Parce qu'il voulait tout simplement briser le Canada ou il aurait réellement représenté les Québécois qui lui ont fermé la vanne cette fois-ci, avec leur dernier mot d'électeurs ? . << Je vous quitte mais d'autres suivront jusqu'à ce que le Québec devienne un pays.>> Pourquoi ce manque de respect démocratique après deux référendums et une claque, les autres qui suivront sont-ils des Français ? Sa chance personnelle aura duré 20 ans, pas de leçon d'un démissionnaire qui se croirait chef du NPD. Et, d'autre part, si les Canadiens voulaient bien une chose c'est bien de Harper à qui ils ont offert une majorité confortable pour gouverner. Int/02-05-2011 +++ |
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